Pour sortir de tout-pétrole, le Gouvernement a mis en place une politique des Zones économiques spéciales (ZES). Il s’agit de construire des infrastructures de base pour permettre aux partenaires de développer des activités économiques et commerciales dans divers domaines hors pétrole. La mise en œuvre des Zones économiques spéciales est la concrétisation de la diversification de l’économie.

Opportunités d’investissements Le Congo dispose de quatre (04) zones économiques spéciales à savoir :
  1. La zone économique spéciale d’Oyo/Ollombo qui couvre une superficie de 760.318 hectares.Les activités retenues dans cette zone sont :Production de cultures alimentaires et de rente; Elevage du bétail; Transformation des produits agricoles (catégories comestibles); Transformation des produits agricoles (catégories non‐comestibles); Sylviculture; Pisciculture ; Services commerciaux; le Tourisme, La recherche, Les services financiers.
  2. La zone économique spéciale de Pointe-Noire qui couvre une superficie de 3150 hectares. Les activités retenues sont: les produits pétroliers raffinés ; les métaux et l’ingénierie ; les produits chimiques ; l’industrie alimentaire et des boissons ; les produits minéraux non métalliques ; le bois et les produits dérivés du bois ; le papier et les produits du papier ; la production des produits en plastique et verrerie ; etc.3. Zone économique spéciale de Ouesso qui couvre une superficie de 64.52 hectares. Les activités retenues sont : la transformation industrielle du bois en sciage et contre plaqué, la production des meubles et les constructions immobilières; le développement des cultures de café et de cacao et la création de l’agro-industrie par la transformation de ces cultures; la culture de la filière palmeraies : la recherche et les services financiers
  3. La zone économique spéciale de Brazzaville qui couvre une superficie de 164.100 hectares.Les activités retenues sont: transformation de l’huile de palme, en huile alimentaire et en savon; l’horticulture (fleurs, fruits et légumes); les matériaux de construction (ciment, granulats, briques/carreaux) ; la logistique (transport, conditionnement, stockage, etc.) ; les énergies renouvelables, avec la production de bioéthanol de sucre de canne et de biodiesel d’huile de palme ; etc.