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Participation de Mme Annick Patricia MONGO, Directrice Générale de l’Agence pour les Investissements (API) du Congo au Business Forum organisé à l’Automobile Club de France (Paris) le 27 septembre 2024 par ‘’ Les Rendez-vous d’Afrique(s)’’, et dédié à Pointe Noire – la ville, le Port autonome et sa Zone économique spéciale.

   France

« Le Congo est la porte d’entrée en Afrique Centrale et Pointe Noire est sa capitale économique », se plaît à rappeler d’emblée Mme Annick Patricia MONGO, DG de l’Agence pour le Promotion des Investissements (API Congo) en ouverture du panel du Forum business consacré à la ville de Pointe Noire organisé à l’Automobile Club de France par les Rendez-vous d’Afrique (s), avec le concours du gouvernement congolais.

Avant de faire, avec les autres panélistes, le « Panorama économique de la ville de Pointe Noire et de sa région », d’évoquer et de tenter de lister les « opportunités d’affaires » qui s’offrent notamment aux investisseurs français venus nombreux pour cette journée non-stop, la DG de l’API Congo veut en effet rappeler à tous que le Congo-Brazzaville appartient à « plusieurs communautés comme la CEMAC (Communauté économique et monétaire d’Afrique Centrale), qui compte six États, et la CEEAC (Communauté économique des États d’Afrique Centrale) qui en compte onze, ce qui lui donne accès à un grand marché de 300 millions d’habitants »... sans compter la ZLECAF, à l’horizon 2030.

Le Congo, première destination des IDE en Afrique centrale

C’est dire tout le poids, l’influence et la force de frappe économique que représente le Congo-Brazzaville qui est déjà, souligne-t-elle à juste titre, « la première destination des investissements directs étrangers en Afrique Centrale » selon la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement), dont le siège est à Genève.

Dans tout le bassin de Pointe Noire, « les opportunités d’affaires sont vraiment immenses et variées » enchaîne Mme MONGO qui en donne des nombreux exemples : « d’abord dans le domaine des mines comme le phosphore » à partir duquel « on peut fabriquer de l’engrais NPK très important pour l’agro-industrie » et qui était principalement importé jusqu’à présent d’Ukraine, mais dont « le prix a été multiplié par quatre » en raison de l’agression russe contre ce pays depuis le 24 février 2022.

« Nous avons aussi du gaz naturel liquéfié que le Congo exporte », ajoute-t-elle, ainsi que « quelques indices de gisements d’or découverts près de Pointe Noire » au sujet desquels « nous allons faire des recherches pour aller vers l’exploration » et – un jour peut-être – vers l’exploitation. Et « nous avons également beaucoup de carrières de pierres de très bonne qualité qui nous donnent la possibilité de créer des usines de carreaux » dans la région.

« Nous visons également l’important marché de Kinshasa »

Mme MONGO fait également état d’ « un projet de construction d’une usine de verrerie à Kwilu – dont l’étude de faisabilité a été réalisé par un cabinet allemand – qui devrait alimenter les cinq grandes brasseries que compte le Congo » et, sans doute, bien d’autres de l’autre côté du fleuve Congo. Car, ce n’est un secret pour personne, les autorités gouvernementales de Brazzaville comme tous les opérateurs économiques qui s’installent dans la région de Pointe Noire pour bénéficier des capacités démultipliées ces dernières années d’un Port autonome en eau profonde et des avantages fiscaux et douaniers de la Zone d’économie spéciale (ZES) voient plus grand et plus loin.

La DG de l’API Congo ne s’en cache pas : « Nous visons également Kinshasa qui – avec ses 13 millions d’habitants – représente un très gros marché ». Brazzaville et Kinshasa, les deux capitales les plus proches au monde ne sont en effet séparées que par le fleuve Congo. Aux investisseurs étrangers qui lui confient « nous sommes installés à Brazzaville, mais nous visons avant tout le grand marché de Kin », la capitale de la République démocratique du Congo, Mme MONGO leur répond avec humour et pragmatisme : « Pas de souci puisque vous payez des impôts ici et que vous créez chez nous des emplois et de la valeur ajoutée ».

L’atout d’une grande stabilité politique

Sans oublier « les opportunités d’investissement dans le domaine du tourisme » et de la défense des richesses de la nature congolaise « comme l’observation des baleines et des tortues de mer qui viennent pondre au large de nos côtes ». Et, bien entendu, le Parc national de Conkouati-Douli (à la frontière du Gabon) qui, lui-aussi, « a besoin d’accompagnement et d’investissement ».

En ouvrant les travaux du Forum Business, Jean-Marc THYSTERE TCHICAYA, ministre des Zones économiques spéciales et de la Diversification économique, comme Mme Évelyne TCHICHELLE, maire de Pointe Noire, ou Séraphin BHALAT, DG du Port autonome de Pointe Noire, n’ont pas dit autre chose : le Congo en général et Pointe Noire en particulier ne manquent pas d’arguments et d’attractivité pour séduire les investisseurs étrangers dans un pays qui peut se vanter au moins d’une grande stabilité politique, condition indispensable à un environnement clair et serein du climat des affaires.

Les autres panélistes de cette deuxième table-ronde en feront la démonstration dans chacune de leurs interventions. Président de la Chambre de Commerce de Pointe Noire, Sylvestre Didier MAVOUENZELA rappelle pour sa part que « chaque pays a l’économie de sa géographie et de son histoire » et qu’il y a donc à Pointe Noire, qui est un grand port et dont la région est entourée de forêts, des « opportunités dans le bois et la transformation du bois et dans la mer avec les hydrocarbures ». « Nous dépensons chaque jour 3 millions de dollars pour produire du pétrole au Congo », explique-t-il, mais « il y a encore des champs pétrolifères à exploiter, surtout dans les grands fonds marins, et des opportunités importantes dans la sous-traitance ». À l’embouchure du fleuve, souligne-t-il encore, « Pointe Noire ambitionne aussi d’être une zone industrielle pour toute l’Afrique Centrale » : RDC, Cameroun, Centrafrique, Gabon et Tchad, ce qui représente un hinterland de quelque 180 millions d’habitants..
Zones économiques spéciales, zéro impôt, sécurité juridique…

DG des quatre Zones Économiques Spéciales que compte le pays, dont la première fut lancée et ouverte à Pointe Noire en 2018, Bertrand CONGO BOKASSA souligne à son tour que le Congo est prêt à accueillir tous ceux qui veulent participer à son développement économique fort prometteur. « Je veux, ajoute-il devant son ministre de tutelle, rassurer les investisseurs déjà sur place ou qui veulent venir car le Congo a mis en place un département ministériel à part entière » pour leur faciliter les démarches et les accompagner. Directeur de cabinet du ministre du Contrôle d’État de la qualité du service public et de la lutte contre les anti-valeurs, Simplice MOUNIANGA BOUKONGOU veut quant à lui rassurer les investisseurs sur l’amélioration du climat des affaires, en détaillant les mesures déjà prises pour lutter contre la corruption dans l’administration comme dans les entreprises du secteur public et du secteur privé avec la multiplication des contrôles et « la possibilité offerte aux entreprises étrangères d’investir au Congo en toute quiétude ».

« Au côté de la Charte des investissements, qui représente le droit commun, de nouveaux avantages ont été mis en place par le gouvernement », reprend Mme MONGO qui en donne deux exemples concrets :
– La loi de finances 2021 a accordé désormais aux toute petites entreprises qui s’installent au Congo deux années d’exonération d’impôt sur les sociétés ;
– la loi de finances 2023 prévoit une exonération totale d’impôts de façon permanente pour toutes les sociétés décidant d’investir dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de la pisciculture car « il y aura zéro impôt dans ces secteurs là ». Avant de conclure : « Nous sommes au Congo dans l’OHADA (Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires), qui regroupe dix-sept pays africains, et il n’y a donc pas de souci à se faire ». Avocat au barreau de Paris et Secrétaire général des Rendez-vous d’Afrique(s), Charles-Stéphane MARCHIANI tire avec talent les conclusions de cette table ronde fort instructive en rappelant à tous une évidence : « Pour les investisseurs, le plus important a priori, c’est la sécurité juridique. C’est avoir l’assurance que les règles sur le fondement desquelles vous rentrez sur un marché ne vont pas changer brutalement, changement qui remettrait en cause la pérennité de vos investissements ».

Et de rappeler également que « les ZES ne sont pas un vain mot au Congo », mais qu’au contraire elles relèvent « véritablement d’une politique publique avec des moyens dédiés, des objectifs et une évaluation constante ». Avec de telles assurances, on ose espérer que les investisseurs français seront nombreux à s’embarquer demain pour Pointe Noire.

INVEST IN DIASPORA
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Le yearbook, rapport économique 2023-2024 est désormais disponible.
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